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Le Goncourt du Schwendi

20 octobre 2006

Lecture à haute voix

Afin d'aider la classe dans son activité de lecture, une heure a été consacrée à la lecture de "Contours du jour qui vient". Les professeurs d'allemand et d'anglais se sont retrouvés pour l'occasion avec la documentaliste vendredi 6 octobre et ont en alternance proposé une lecture aux élèves.

Apprécié par la plupart comme un bon moyen de découvrir un livre, une façon autre d'entrer dans l'univers d'un livre et une compréhension facilitée par l'approche orale, cette séance n'a cependant pas contenté quelques élèves qui préfèrent une approche personnelle du livre.

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19 octobre 2006

Rencontre des écrivains à Troyes

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Lundi 2 octobre les Lycéens du Grand Est ont rencontré 4 écrivains au théâtre de la Madeleine à Troyes :

Antoine Audouard, Christophe Bataille, Gilles Lapouge

et Amélie Nothomb.



La salle du théâtre se remplit peu à peu...

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On en profite pour prendre quelques photos.   



Après quelques minutes d'attente les auteurs arrivent. Sous les feux des projecteurs ils ne font que distinguer la salle qui leur fait face mais ils avouent tous être impressionnés.

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Voici donc un petit aperçu de l'échange entre lycéens et auteurs en cet après-midi du 2 octobre.

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(Christophe Bataille, à droite)


Christophe Bataille

- Le titre de votre roman "Quartier général du bruit " est-il un titre polémique ?

- Il m’a été donné par un ami : Franz Kafka. Dans son livre « Journal », Kafka se plaint de sa famille et en particulier de sa sœur qui fait du bruit. Il a écrit «  La famille, c’est le quartier général du bruit ». La vie de Bernard Grasset est celle d’un fou, d’un éditeur passé en maisons de repos et soumis à les électrochocs, thérapie de l’époque. C’est quelqu’un qui a la passion du livre mais qui est capable d’éditer Proust et Hitler.
S’occuper d’une maison d’édition c’est un petit métier, Gallimard doit rassembler peut-être 200 personnes. Ces gens qui font les livres luttent contre le temps, les images. Ils ne sont pas écoutés dans un monde dominé par les images, le cinéma, la télévision. Il faut se battre contre plein d’obstacles.
Je voulais raconter comment ça se passe de l’intérieur ( avec les émotions, la folie…) Je voulais raconter les coulisses, l’envers du décor.


J’ai travaillé dans les cosmétiques à Londres. On en était arrivé à me demander de porter le parfum de la maison. Pour moi c’était comme une dictature. L’édition c’est un métier récent. Au 19ème siècle, il y a vait des auteurs, des imprimeurs. Aujourd’hui, l’édition est devenue un métier avec du marketing, des chiffres de vente… Des choses belles, des choses laides.


- Votre livre présente Grasset comme un fou. Comment Grasset a-t-il pris les choses ?

- Grasset est mort en 1956. La personne qui dirige Grasset a trouvé que c’était une bonne définition de l’éditeur.


- Votre personnage mange du papier. Pourquoi ?

- Cette idée m’est venue grâce au roman «  Les illusions perdues ». L’apparition du papier a révolutionné l’information avec les journaux. Un secrétaire s’était mis à manger du papier, d’abord par lambeaux puis de façon plus conséquente jusqu’au jour où un traité de paix entre la Suède et la Russie qui devait passer à la signature avait disparu, mangé par ses soins. Le coupable fut fusillé. Quand on aime les livres, vraiment, ils sont parfois bouleversants, ils changent notre vie et on peut en crever.

- Vous avez un style particulier dans votre écriture. Pourquoi ?

- Je suis encore dans une recherche formelle. C’est plus difficile et j’ai perdu pas mal de lecteurs. Mais sinon on a l’impression d’être un auteur du 19ème siècle…
J’ai une désir très littéraire, je cherche à travailler la langue. Tout ne s’arrête pas à Verlaine et Eluard. Je défends l’idée que le combat esthétique n’est pas mort. Je pense qu’il faut cogner dans la langue car la recherche n’est pas finie.

- Pourquoi avoir choisi cette image sur le bandeau ?

- C’est en fait une photo de Grasset dans les années 30. C’est vrai qu’on dirait Charlie Chaplin jouant Hitler.


- Dans votre ouvrage vous dites que Bernard Grasset est amoureux des livres et pourtant on constate que son obsession est de vendre 

-    Grasset disait que la littérature c’était l’électricité + les mots. Les éditeurs aujourd’hui cherchent à faire des trucs compliqués : vendre et publier aussi les livres qu’on aime. Les éditeurs font 10 livres qu’ils aiment, en gros, et vivent avec un livre. Celui qui se vend alimente les autres.

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(à gauche Antoine Audouard, à droite Gilles Lapouge)


Antoine Audouard


- Votre livre a-t-il une dimension autobiographique ?

- Je suis né après la seconde guerre mondiale. Mon père est né au Vietnam, il est rentré en France en 1915 à l’âge d’un an. Je me souviens du sabre colonial de mon grand-père, qui avait une affection spéciale pour ce sabre. Mon père dormait avec ce sabre quand son père lui manquait trop. L’arrière plan émotionnel est donc un peu autobiographique.

En fait la fascination est née avec ce pays, avec ces gens, il y a une dizaine d’années. C’est devenu une obsession, j’étais fasciné par la beauté de ce pays, de ses paysages. C’est aussi une lecture de l’histoire face à une guerre qui aurait pu ne mas être, une guerre qui nous a marqués et nous marque encore.

Il s’agissait de garder une trace de cette mémoire. Elle passe à travers la souffrance et la beauté, d’émotions qui me sont propres. J’ai essayé de rendre compte des 2 faces de la médaille. J’ai essayé de confronter la mémoire française à la mémoire tonkinoise.

- Quelle est votre situation par rapport au thème de la repentance ?Faut-il avoir honte d’être Français ?
- Dans mon livre, le soldat qui parle est un « fort en gueule » avec une sensibilité profonde. Dans nos guerres coloniales, les Français se sont alliés avec des gens qui ont cru en eux et les Français leur ont fait croire qu’ils allaient les aider. Il s’est passé la même chose en Algérie, on a assisté à un bégaiement de l’histoire avec le massacre de ces personnes.
C’est une tache dans notre histoire, quelque chose qui n’est pas souvent dit et il y a nécessité d’arriver à le dire. Il faut aussi qu’on arrive à accepter cette part de l’histoire. Il ne s’agit pas de repentance ou de fierté, même pas d’un « devoir de mémoire », mais du devoir de comprendre.
C’est vrai aussi dans nos vies individuelles. Tout n’est jamais parfaitement bien. On ne doit pas s’arrêter à «c’était bien » « c’était mal ». Il faut se pencher sur son passé et comprendre comment on en est arrivé là. Pour avoir la capacité dans l’avenir de donner une réponse meilleure, on a besoin de se replonger dans notre histoire, de savoir et de comprendre. 


- Quand vous écrivez un livre qu’est-ce qui est le plus important pour vous ? Est-ce un refuge, est-ce la morale que vous voulez faire passer ? 

- Surtout pas une morale. On n’est pas pour ou contre, on est avec un personnage jusqu’au bout. Les émotions sont beaucoup plus compliquées que le bien ou le mal.


- Pourquoi avoir choisi l’histoire d’un fils à la recherche de son père ?

- Dans mon histoire c’est un homme qui est malade et qui veut voir son fils pour lui parler mais il ne pourra pas le faire . Il va mourir avant. C’est arrivé à un ami. Et pour moi ce silence devait être brisé.

- Comment choisissez-vous les noms de vos personnages ?

- Je case des noms de copains. Karaz est le nom d’un jouer de tennis, il sonnait bien. J’utilise aussi le nom de gens que je n’aime pas.

- D’où vient le titre de votre livre ?

- Il est inspiré de la légende vietnamienne du début de l’ouvrage.

- Que pensez-vous du métier d’écrivain ?

- Tous les gens de la chaîne du livre en vivent. Les seuls qui sont dans une posture beaucoup plus délicate ce sont les écrivains. Le livre constitue une petite industrie où la source de la richesse, les écrivains, n’en vivent pas, en règle générale. Il existe quelques exceptions heureuses. Finalement c’est un métier qui n’en est pas un.

Amélie Nothomb

    - Où cherchez-vous vos idées ?

    -Je n'en ai aucune idée. Elles viennent et c'est un grand mystère.    
  En fait ce livre m’a été inspiré par un fait précis. En mai 2005, une hirondelle est entrée dans ma chambre. Elle était complètement  affolée. Je l’ai poursuivie partout dans ma chambre pour la sauver. J’ai vécu l’épouvante de cette hirondelle. Heureusement pour elle cela a fini de façon moins dramatique que dans mon livre.

- Comment justifiez-vous le fait de manger du papier ?

- Dans mon histoire il s’agit d’un secret à préserver. Urbain a compris que le seul moyen de préserver ce secret c’est de le manger. Mais il sait aussi qu’à forte dose cela tue. Il y voit ainsi la solution de son problème.

- Si vous deviez qualifier votre roman en un mot que diriez –vous ?

- Difficile puisque j’ai mis de nombreuses pages… Une nécrologie.

- Votre héros se gave de la musique de Radiohead. Pourquoi avoir choisi ce groupe ?

- Les 3 derniers albums de Radiohead m’ont déterminé à écrire ce livre. C’est hypnotique et dépourvu de nostalgie. Je les ai trop écouté. Faites-le et vous verrez ce que vous deviendrez…

- Quelles sensations avez-vous ressenties à l’écriture de votre livre ?

- Une très grande exaltation, beaucoup de froid.
C’est très mystérieux d’écrire ce livre. Quand j’écris une scène de meurtre, j’ai la conviction de commettre le meurtre. C’est très exaltant.

- Vous identifiez-vous à vos personnages ?

- Je m’identifie à tous mes personnages, que ce soit un homme ou une femme. Le sexe n’est pas un ghetto.

- Faites-vous la différence entre un pistolet et un revolver ?

- Oui. En Belgique un pistolet c’est un petit pain fourré, très gras. Donc, oui, je fais la différence.


- Comment choisissez-vous les noms de vos personnages ?

- Urbain : veut dire à la fois citadin et poli.

- Youri en japonais veut dire lys qui est le symbole de la pureté.


Gilles Lapouge

Où avez-vous trouvé l’inspiration pour votre livre ?

- Dans ma mémoire. C’est le décor de mes 13 à 17 ou 20 ans. Toute la famille se retrouvait dans les «Basses Alpes» chaque été entre les 2 guerres.

Le décor est vrai mais les personnages sont extraordinaires. Ce sont des personnages que peut-être j’imaginais à l’époque. On s’inventait des histoires. C’est ainsi que le cantonnier est né. Le facteur symbolise la route, l’échange entre les hommes.

- Pourquoi écrivez-vous dans un style poétique ?

- Je ne l’ai pas fait exprès. J’essaie de m’en protéger.

- Pourquoi ce titre ?

- C’est l’éditeur qui a choisi.
C’est un bois qui existe vraiment. Pour nous il symbolisait la frontière du village. Au delà commençait le monde étranger. Mais c’est un livre sans amoureux. Il y a des gens qui aiment le lieu où ils vivent. Je voulais faire un livre sans cadavre, avec peu de méchants. Un livre sans violence.



- Pourquoi avoir écrit un livre sans histoire ?

- Le livre trop souvent, va directement d’une situation initiale à une fin en passant par une énigme. Dans la vie réelle cela ne se passe pas ainsi. Je comparerai un roman à un fleuve. Le mien serait plutôt un delta.


- Votre livre est-il un roman ?

- Le roman a une forme libre. Tous les désordres peuvent intervenir.
Parrain Elie est un personnage capital. Il est paralysé  et presque aveugle.

Le cantonnier est un passeur qui aime les gens et veut apporter le monde aux autres. Les gens ne sont pas solitaires. D’ailleurs il est une phrase importante dans ce livre que répète le cantonnier très souvent «  Moi, si j’étais moi…. » ce qui veut dire que je suis aussi l’autre et l’autre est aussi moi.

- Est-ce que vous vous identifiez à Julien  ?

- Je connais des gens qui ont du Julien en eux. Ils ont une certaine vision des choses. Il a réussi à mettre de la vie dans ce village. Son passage a permis de sortir ce village de sa torpeur.

   

Questions communes aux 4 écrivains


    -     Pensiez-vous devenir écrivain ?

- Amélie Nothomb : - Non pas du tout. Quand j’étais petite je voulais être dieu.

- Christophe Bataille : - J’ai mis 8 ans pour écrire 140 pages…

- Antoine Audouard : -Je n’avais pas le choix : mon père était écrivain,, mon parrain aussi. Pour moi il n’existait pas d’autre métier. J’ai travaillé dans l’édition. Pendant 20 ans je n’ai pas écrit. Mais là c’est une histoire de fantômes, Ils m’ont tiré par les pieds.

    -   Gilles Lapouge : - Je suis journaliste depuis 58 ans.

- Pourquoi écrivez-vous ? Avez-vous peur de ne pas être compris ?

- Gilles Lapouge : - J’aime écrire car je peux devenir n’importe qui. Le romancier peut se balader de « moi » en « moi».

- Amélie Nothomb : - Je ne peux pas faire autrement. Bien sûr j’ai peur des malentendus.

Antoine Audouard : - J’écris par ce que je suis tombé amoureux. Il ne faut pas avoir peur de ne pas être compris.

- Christophe Bataille : - Publier des livres c’est d ‘abord marcher sur les plates-bandes de quelqu’un.

- Y a-t-il un livre qui vous a marqué votre jeunesse ?

- Antoine Audouard : - La Chanson de Roland et plus particulièrement la scène où Roland sonne dans l’olifant. En écrivant mon livre, j’ai repensé à cette histoire

- Gilles Lapouge : - Mme Bovary

- Amélie Nothomb : - La mort est mon métier de Robert Merle

Christophe Bataille : - Je n’ai pas de livre particulier mais peut-être le film « Platoon »


Nos impressions sur cet événement :

- C'était une journée intéressante mais le voyage en bus était long. Certains auteurs avaient l'air décontracté comme Christophe Bataille, et d'autres semblaient crispés comme Amélie Nothomb. Quentin

- Amélie Nothomb est stylée : son côté dérangé et mystérieux est assez attirant. Aurélien

- Ce fut une très bonne journée. la rencontre était intéressante malgré la froideur de certains auteurs( Amélie Nothomb). Emmanuel

- C'était intéressant de rencontrer de grands auteurs contemporains avec leurs avis croisés. Antoine

- J'ai bien apprécié les réponses brèves et directes d'Amélie Nothomb. Yannick

-  J'ai été très marquée par Amélie Nothomb et la façon dont elle "remballait" les lycéens. Sabrina

- La journée à Troyes était géniale. On a pu voir ceux qui lisaient les mêmes romans que nous et rencontrer les écrivains. Mickaël

19 octobre 2006

Nos impressions après lecture des romans

amant

- Livre très intéressant, bien raconté...  C'est une autobiograhie originale que l'on peut qualifier de classique avec quelque chose de particulier : c'est un livre moderne.  Ce qui m'a plu c'est l'histoire d'un jene adolescent aui peut nous ressembler et auquel on peut s'identifier, ce n'est pas comme si c'était l'histoire d'une personne plus âgée...  Et vive l'Angleterre!!  Géraud

- L'amant en culottes courtes est très intéressant car il raconte la vie d'un adolescent qui part dans une famille en Angleterre et beaucoup d'adolescents rêvent de faire des échanges à l'étranger. Quentin

hirondelle

Un énorme chagrin d’amour rend le narrateur complètement insensible. La rencontre avec Youri le transformera en tueur à gages, une véritable machine à tuer qui remplit à la perfection tous les contrats qu’on lui propose. Jusqu’au jour où on lui demande d’exécuter un ministre et sa famille et de rapporter sa serviette contenant des documents importants…

- Très intéressant, j'ai adoré ce livre. Je l'ai lu entièrement. Sabrina

- L'histoire est bizarre mais assez accrochante. Christian et Yoann

- Intéressant à lire. Julien

- Le premier livre de ma vie que j'ai fini et ça m'a plu. Kevin

- Il est très captivant. Marc

- C'est un drôle de livre que j'ai bien aimé car il parle de meurtre et de tueur en série . Il y a beaucoup de détails quand elle parle des meurtres. Yannick

- Journal d'hirondelle est un livre très attirant parce qu'il y a des meurtres et le récit ne détaille pas beaucoup les scènes de meurtre, ce qui laisse au lecteur le plaisir d'imaginer la scène et les détails... Le personnage principal change d'identité afin de protéger le secret d'une ejune fille alors que plus tôt il tue des personnes sans aucune mauvaise conscience. En quelque sorte c'est une histoire d'amour entre un meurtrier et sa victime, et c'est à ce moment là que le meurtrier retrouve son humanité. Kevin ( 20 octobre)

- L'histoire est intéressante, surtout l'évolution du personnage principal ( c'est rassurant). La fin est originale, mais j'aurais préféré que le personnage reste en vie. Christian

- Livre facile à lire et à comprendre. Le moment que j'ai le plus aimé c'est lorsqu'il doit tuer le ministre et toute sa famille ( surprise, surprise!!...) Yannick

marilyn

- Un livre sans chronologie. très intéressant si on s'intéresse à la psychologie/psychanalyse ou/ et à Marilyn Monroe. Jérémie

- Très passionnant, ce livre dévoile la face cachée de Marilyne Monroe, son côté psychologique et dérangé.C'est un peu en contradiction avec l'idée qu'on avait d'elle. J'aime aussi le côté "voyeurisme" du livre. Aurélien J.

- Je n'ai pas aimé car c'est très dur de suivre le fil de l'histoire à cause du très grand nombre de personnages. Antoine

bienveillantes

- Long, très long... Avec beaucoup de politique et de noms au début mais assez captivant tout compte fait. Antoine

- C'est un livre magnifique qui retrace la vie d'un prisonnier de la shoa. Le livre est intéressant et on accroche vite. Mickaël

- Dans le Bienveillantes le narrateur parle sans aucun sentiment de tous les événements qui se produisent. Son regard est neutre , une peu détaché. Il n'a pas l'air de regretter ce qu'il a fait en tant qu'ancien nazi. Pour moi c'est assez inquiétant. Mickaël ( le 20 octobre)

suppl_ment

- Très intéressant. Il retrace des événements qui ont marqué les français. Marc

- J'ai aimé ce roman car l'auteur est très direct, il dit les choses comme il les pense. C'est parfois drôle, un peu vulgaire. Les sujets abordés concernent l'actualité: terrorisme, cités, politique...  Marc ( le 20 octobre)

- Le fait de parler de plusieurs personnages est intéressant. Mais les histoires sur leur vie sont un peu limitées. J'ai beaucoup aime la fin du livre, la vision de 2007 ...  Aurélien K.

disparaitre

- Cette histoire me plait bien. Marc

le_bois

- Livre très bizarre, sans histoire. Géraud

quartier

- Compliqué mais je l'ai lu entièrement. Sabrina

- Court et rapide à lire. Les pages s'enchainent et je n'ai pas cherché à tout comprendre. Mais l'ensemble est intéressant. Antoine

- Un livre simple et ennuyeux en apparence. Il devient intéressant lorsqu'on s'attarde sur des passages et les développe. Jérémie

- Lecture difficile. Marc

- Un livre très vite lu. En 1 heure c'est fini mais on n'a rien compris. En fait il faut lire entre les lignes, chercher le sens des métaphores et paraphrases. Le style est très ( trop?) travaillé pour être accessible à des lycéens et le contexte est dur à saisir pour les moins informés sur l'époque. J'ai lu le lmivre mais je suis sûr d'avoir raté beaucoup en ne comprenat pas tous les sens cachés ou détails historiques de l'époque. Antoine ( 20 octobre)

- Je viens de commencer à lore "Qartier général du bruit" et je trouve que c'est un livre assez dur à lire et à comprendre. De plus je ne connais pas grand chose au monde de l'édition, on dirait une jungle. Yannick

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- Pas terrible. Je ne l'ai pas lu entièrement, pour moi ce livre est un somnifère. Sabrina

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La guerre a ravagé le Mboasu. Incapables de prendre soin de leurs enfants, les parents les chassent, les accusant d'être responsonbles de leurs malheurs. C'est ainsi que la petite Musango se retrouve à la rue. Enlevée puis vendue par des trafiquants, elle est séquestrée par des proxénètes qui dissimulent leur odieux trafic derrière des activités d'une secte religieuse. Musango s'enfuit et tente de retrouver sa mère. Tout au long de son périple, elle s'adresse à sa mère. Leur histoire intime se confond avec celle d'une société inapte à envisager le futur. Parviendra-t-elle à retrouver cette mère qui l'a tant fait souffrir ?


- Je suis entrain de le lire et je le trouve intéressant. Sabrina

- Tout au long du livre on ne sait pas si Musango va retrouver sa mère ou non, sa mère qui l'avait chassée. Cette aventure a fait beaucoup trop mûrir Musango qui n'est encore qu'une enfant de 12/13 ans. Je trouve la fin décevante car j'aurais tellement voulu qu'elle retrouve sa mère... Sabrina ( le 20 octobre)

toi

pont

12 septembre 2006

Lancement du Goncourt des lycéens 2006

Mercredi 13 septembre 2006: lancement officiel du Goncourt des Lycéens pour la classe de 1ère STI Génie des Matériaux.

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M. Chevrel, Directeur de la Fnac de Colmar, présente l'opération et la sélection 2006

Les premières impressions lors de la présentation des romans :

- Les livres sont variés et ont des thèmes différents ce qui peut attirer toutes sortes de lecteurs.    Mickaël

- Ce sont des livres profonds, je les imaginais plus austères. Jérémie

- De toutes les tailles et de tous genres.  Julien et Yannick

- Ils ont l'air  d'être intéressants, ça donne envie de lire. Yoann

- Plusieurs livres ont l'air intéressants .  Quentin

- Ils ne semblent pas très intéressants.  Christian et Aurélien                

Il s'agit ensuite de choisir le 1er roman à lire :     IMG_2948

Si plusieurs élèves ont choisi le roman d'Amélie Nothomb "Journal d'hirondelle" pour sa taille, d'autres l'ont sélectionné après lecture de la quatrième de couverture." L'amant en culottes courtes" a été retenu pour son côté autobiographique. " Les bienveillantes" également a été choisi grâce au résumé de la 4ème de couverture.

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Après la nourriture de l'esprit, un peu de nourriture terrestre fait plaisir...

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